Pourquoi Invisible
?
Pourquoi avoir
Pourquoi avoir nommé l’association des défenses des Libertés
Au Coeur de l’Invisible ?
Le mot invisible peut déranger. Il peut faire peur.
Parce qu’il évoque ce qu’on ne voit pas, ce qu’on ne contrôle pas, ce qu’on ne maîtrise pas.
Parce qu’il renvoie à ce qui échappe à notre regard… ou qu’on refuse parfois de regarder.
L’invisible est partout autour de nous. Il fait partie de nos vies, qu’on le veuille ou non. Ce sont ces douleurs que l’on tait, ces mécanismes d’emprise qu’on banalise, ces violences douces, insidieuses, que l’on choisit trop souvent d’ignorer.
Ce que l’on perçoit mais qu’on préfère ne pas nommer. Car détourner le regard, c’est aussi une façon de faire disparaître les problèmes… au moins en apparence.
Mais l’invisible ne disparaît jamais vraiment. Il agit. Il structure. Il influence. Il façonne notre manière de penser, de croire, d’agir — ou de ne pas agir.
C’est là que réside son pouvoir : dans cette capacité à rester hors champ tout en modelant profondément notre réalité.
Nous avons choisi de nommer l’association des défenses des Libertés Au Cœur de l’Invisible parce que nous voulons justement aller là où les autres ne vont pas. Mettre des mots sur ce qui dérange. Regarder ce qu’on préfère cacher. Et surtout, comprendre les systèmes, les fonctionnements, les logiques collectives qui rendent cet invisible si puissant, si répandu, si normalisé.

Entrer au cœur de l’invisible, c’est refuser la résignation. C’est remettre en question ce qui semble aller de soi. C’est une manière d’agir, d’interroger, de relier. Non pas en se posant comme sauveurs ou juges, mais comme témoins lucides, passeurs de récits, chercheurs de vérités.
« Le plus grand mal dans le monde est souvent commis par des gens qui ne choisissent pas d’être bons ou mauvais, mais qui refusent simplement de voir. »
Hannah Arendt (philosophe)
« Le plus grand mal dans le monde est souvent commis par des gens qui ne choisissent pas d’être bons ou mauvais, mais qui refusent simplement de voir. »

Qu’est-ce qui est invisible
?
L’invisible, ce sont ces phénomènes que l’on ne voit pas toujours — ou que l’on refuse de voir. Pourtant, leurs répercussions, elles, sont bien réelles. Les victimes, elles, sont bien là. Mais trop souvent, elles sont à leur tour invisibilisées.
Et c’est précisément cela que nous refusons.
Nous refusons que les victimes aient peur. Qu’elles soient contraintes de se taire, de se cacher, de s’excuser d’exister. Nous refusons qu’elles soient perçues comme gênantes, alors qu’elles sont le reflet – et souvent la conséquence directe – de ces gourous 2.0, de ces manipulations, mais aussi du silence, du manque de réponse, et de l’inaction de certains.
Nous voulons redonner de la visibilité à ce qui dérange. Et de la voix à celles et ceux qu’on voudrait faire taire.
Pour que l’invisible soit visible !
Agissons pour que l’Invisible devienne visible !
« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. »
Albert Einstein
« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire. »
Pour résumer
Le mot invisible peut faire peur. Il sous-entend quelque chose qu’on ne contrôle pas, qu’on ne voit pas, ou que l’on ne maîtrise pas. Et pourtant, l’invisible est partout autour de nous. Il nous concerne tous.
Invisible, c’est aussi poser le doigt sur ce que l’on ne veut pas voir. Ce que l’on perçoit parfois confusément, mais que l’on préfère ignorer en détournant le regard. Comme si ne pas voir signifiait que cela n’existe pas.
L’invisible, ce sont ces phénomènes ignorés, ou sciemment mis de côté — pour ne pas avoir à agir, pour ne pas avoir à chercher des solutions. C’est aussi une manière de se déresponsabiliser.
Au Cœur de l’Invisible, parce que ce système d’occultation n’est pas marginal. Il est profondément ancré, presque généralisé.
L’invisible, ce sont ces violences et dérives que l’on cache. Mais si leurs mécanismes échappent souvent au regard, leurs répercussions, elles, sont bien visibles. Et les victimes, elles aussi, sont bien là. Pourtant, elles sont trop souvent invisibilisées.
Et c’est précisément cela que nous refusons.
Nous refusons que les victimes aient peur. Qu’elles soient contraintes de se taire, de se cacher, de s’excuser d’exister. Nous refusons qu’elles soient perçues comme gênantes, alors qu’elles sont le reflet – et souvent la conséquence directe – de ces gourous 2.0, de ces manipulations, mais aussi du silence, du manque de réponse, et de l’inaction de certains.
Nous voulons redonner de la visibilité à ce qui dérange. Et de la voix à celles et ceux qu’on voudrait faire taire.

« Dire la vérité dans une époque de mensonge est un acte révolutionnaire. »
Georges orwell
« Dire la vérité dans une époque de mensonge est un acte révolutionnaire. »